Archives pour la catégorie Portraits d’artistes et d’écrivains
Serge G.
Huile sur papier Figueras, 21 cm x 29,7 cm, avril 2024.
Quelques portraits d’acteurs des film d’Ozu…
Portrait de Jussi Vatanen…
Mathieu Amalric, estampe, papier piqué…
Mathieu Amalric
Espèce d’estampe, encore, avec de l’Amalric, de la barbe à ras, des dessins de téléphone, de réunions et des réminiscences de Yumeji , de Koizumi ou de Shunpan. On s’occupe…
(fantaisie graphique, dessins de téléphone, de réunions, papiers découpés, Ps pour les virages et l’assemblage)
Voleuse d’amphores au fond des criques…
Portraits de Kim Jung Gi…
Kim Jung Gi (en coréen : 김정기, hanja : 金政基) est né le 7 février 1975 à Goyang dans la province de Gyeonggi (banlieue de Séoul) et il est mort le 3 octobre 2022 à Villepinte.
C’était un dessinateur hypermnésique, effervescent, prolifique, puissant et agaçant par son aisance. Ses sketchbooks sont hors de prix, ce qu’il dessinait ne m’intéresse pas, je reste baba devant ses images.
Ce n’était plus un artiste, c’était un athlète du dessin, un performer. Comme il ne soignait pas son cardio il est mort d’un infarctus.
On trouve des dizaines de vidéos où on le voit au travail. On n’y comprend rien, il va vite, ça tombe juste, son geste est toujours élégant.
Le Mystère Picasso, à côté, c’est de la bibine.
Autour du film « Un drôle de paroissien » de Mocky…
Autour du film « Le Témoin » de Mocky…
Houellebecq ? Où est le bec ? disent-ils…
Ça se passe dans une volière, sous des sunlights, les coudes sur le comptoir. Le rêve mauve, épais, avec des grumeaux. Un enchainement d’absurdités sur un air de raison, la descente tout schuss des pistes verglacées du paralogique.
Ça caquette, ça croasse, ça pousse des cris d’Onfray. De drôles d’oiseaux, vraiment, tous bien obsédés. Des rengaines marmonnées, des scies de pisse-vinaigres. C’est la parade des ailes rabougries, des yeux morts, de la griffe ébréchée, de la gamberge bancroche et acidifiée. Ils volent bas, dans les décharges de la pensée, et pérorent avec les rats.
Certains se sont perdus, j’en entends qui disent : « Où est le bec ? Où est le bec ? »