Une revenante direz-vous. Que nenni. Je vous suis assidûment là-bas, sur les rézosocios, et c’est là tout le problème : il y manque cette délicieuse intimité du blog, ce moment privilégié où je peux vous parler seule à seul de mon emballement toujours fidèle pour vos croquis. J’arrive ici, j’ai l’impression d’avoir tout vu, mais je n’ai rien regardé. Alors aujourd’hui je prends mon temps.
Vos gens saisis du bout de votre crayon forment votre Comédie Humaine à vous. Une galerie de portraits dont on ne se lasse pas de capter le moindre détail.
Esquissés ou achevés, en couleur ou en gris, à l’encre, à l’aquarelle, en grand ou en petit, il y a toujours ce dénominateur commun : la vie. Le mouvement. l’énergie. Le bruit, les sens, le regard.
Comme une impression de s’asseoir à une terrasse avec vous et de regarder passer les gens.
Amicalement
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Chère Célestine, comme votre commentaire me fait plaisir. Ne pas être sur les réseaux ce serait s’exclure du game comme disent certains de ma connaissance. Serait-ce si grave ? Je n’en sais rien.
Je tiens à mon blog. J’y suis chez moi, j’y publie mes images dans la définition que je souhaite et je brode mes textes sans jamais craindre la remarque imbécile ou assassine du quidam.
Sa portée s’est amenuisée si j’en crois mes statistiques mais je m’en fiche. Les fidèles, souvent discrets, passent toujours. J’y renvoie régulièrement ceux qui manifestent un peu d’intérêt pour mes dessins, mes croquis. Que puis-je espérer de mieux ?
Je ne me lasse pas de cette populace qui envahit depuis quelques années mes carnets de croquis. Je suis heureux qu’elle trouve un écho chez des gens comme vous, curieux, sensibles, attentifs.
Revenez chère Célestine. Je ne saurais me passer de vous : vous m’accompagnez depuis tant d’années.
Ps : moi aussi je vous croise sur les RS mais je répugne à déposer des « j’aime » qui vont se mélanger à d’autres… J’ai mon petit caractère. Je sais que vous me pardonnerez. Amitiés vives et indéfectibles…
Cher Soluto
Une revenante direz-vous. Que nenni. Je vous suis assidûment là-bas, sur les rézosocios, et c’est là tout le problème : il y manque cette délicieuse intimité du blog, ce moment privilégié où je peux vous parler seule à seul de mon emballement toujours fidèle pour vos croquis. J’arrive ici, j’ai l’impression d’avoir tout vu, mais je n’ai rien regardé. Alors aujourd’hui je prends mon temps.
Vos gens saisis du bout de votre crayon forment votre Comédie Humaine à vous. Une galerie de portraits dont on ne se lasse pas de capter le moindre détail.
Esquissés ou achevés, en couleur ou en gris, à l’encre, à l’aquarelle, en grand ou en petit, il y a toujours ce dénominateur commun : la vie. Le mouvement. l’énergie. Le bruit, les sens, le regard.
Comme une impression de s’asseoir à une terrasse avec vous et de regarder passer les gens.
Amicalement
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Chère Célestine, comme votre commentaire me fait plaisir. Ne pas être sur les réseaux ce serait s’exclure du game comme disent certains de ma connaissance. Serait-ce si grave ? Je n’en sais rien.
Je tiens à mon blog. J’y suis chez moi, j’y publie mes images dans la définition que je souhaite et je brode mes textes sans jamais craindre la remarque imbécile ou assassine du quidam.
Sa portée s’est amenuisée si j’en crois mes statistiques mais je m’en fiche. Les fidèles, souvent discrets, passent toujours. J’y renvoie régulièrement ceux qui manifestent un peu d’intérêt pour mes dessins, mes croquis. Que puis-je espérer de mieux ?
Je ne me lasse pas de cette populace qui envahit depuis quelques années mes carnets de croquis. Je suis heureux qu’elle trouve un écho chez des gens comme vous, curieux, sensibles, attentifs.
Revenez chère Célestine. Je ne saurais me passer de vous : vous m’accompagnez depuis tant d’années.
Ps : moi aussi je vous croise sur les RS mais je répugne à déposer des « j’aime » qui vont se mélanger à d’autres… J’ai mon petit caractère. Je sais que vous me pardonnerez. Amitiés vives et indéfectibles…