Pages de cahier…
Les vedettes de mon enfance telles que je les voyais dans les pages du Télémagazine de mes parents. Je m’appliquais déjà à les recopier pour les posséder un peu. La rousse m’en fichait plein les yeux. J’en aurais bien fait une femme infidèle à mon profit. Je nous voyais en songe jouant à cache-cache sous des édredons. Des rêveries sans conséquences, à l’âge où l’on ne souffre pas de durcir pour des prunes… « Il est sage Laurent, quand il dessine… » disait ma mère en passant la tête par-dessus mon épaule.
C’était le temps des gouaches en pastilles, du pinceau à deux balles et du papier qui gondole… Le plaisir presque pur de peinturlurer.
La chanson de Souchon : « j’ai dix ans… »
Brigitte (déjà un peu avancée), Sylvie et ma préférée la rouge Stéphane (qui a tenu dans ma vie la place des louchons dans celle de Descartes, ouais mon pote…)
Quel talent vous aviez déjà cher Soluto !
J’admire cette Bardot plus vraie que nature, Audran et Vartan aussi !
Saisir l’âme, c’est ce qu’il y a de plus difficile.
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Audran en emporte le vent… Merci, merci Célestine… A très bientôt…