L’incandescence des oranges et des roux, la cendre froide tamisée des joues, la braise. Un baiser de glaçon. Ravi de votre passage et de votre commentaire chère Amélie…
Dans nos regards ensanglantés la lune se penche. Elle trempe ses bouches de cratères et distribue des baisers muets. Rien ne renaît d’une boue de sang, de cendre… La fausseté de l’amour même.
Toute la question est là Françoise… Est-ce nous qui sommes effrayants et qui cueillons en retour ces regards effarés ? Allons… Belle journée à vous tout de même…
Comme une combustion interne. Quel portrait troublant…terrifiant.
L’incandescence des oranges et des roux, la cendre froide tamisée des joues, la braise. Un baiser de glaçon. Ravi de votre passage et de votre commentaire chère Amélie…
« Voie lactée ô soeur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses » …
Le faux amour…m’en parlez pas !
Bien à vous, cher Soluto
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Qu’un ciel d’oubli s’ouvre à mes vœux Célestine…
Cher Soluto, on ne peut peindre mieux les amours fausses. Une peinture terrible.
Dans nos regards ensanglantés la lune se penche. Elle trempe ses bouches de cratères et distribue des baisers muets. Rien ne renaît d’une boue de sang, de cendre… La fausseté de l’amour même.
Que de regards croisés, quand c ‘est encore possible, ressemblent à celui – ci !
Ou est-ce le mien posé sur ce monde empli d’effroi ?
Bien à vous.
Toute la question est là Françoise… Est-ce nous qui sommes effrayants et qui cueillons en retour ces regards effarés ? Allons… Belle journée à vous tout de même…