Bon faut reconnaître que le premier est une splendeur, dans le travail des reflets et de la lumière.
Vous êtes dur avec vos commentateurs, je sais que c’est votre période NB mais franchement, vos couleurs me manquent. Je voulais juste vous le redire, comme ça en passant. Je guette chaque jour, ne croyez pas que je ne viens plus….
Mais je sais bien que je soulage ma vessie dans un violoncelle…
Et vous avez raison de faire ce que vous voulez, au final.
¸¸.•*¨*• ☆
Chère Célestine, la première image est le fusain dans son entier, les deux autres sont deux détails. Je les ai adjoints pour montrer les possibilités infinies du fusain tel que je l’envisage. Le flou, l’allusion, le trait qui feint l’hésitation, l’estompe qui noie le contour, les gris chauds, les noirs profonds, les blancs à la gomme mie de pain : petites réjouissances, plaisantes distractions… Hélas pour vous j’en ai encore pas mal en projet. J’arpente ma ville. Elle colle en ce moment à mon humeur. Je rêve de paysages de pluie, de nuit, de neige, au charbon…
J’ai aussi bien sûr des pièces en couleur, des nus et des portraits, que je posterai bientôt. Mais il faudrait que je prenne le temps de les photographier. Patience…
A tout bientôt, donc, Célestine…
Superbe série de paysages urbains au fusain!
Oh, chère Flora, ravi de votre passage par ici… Merci du compliment. A très bientôt…
Bon faut reconnaître que le premier est une splendeur, dans le travail des reflets et de la lumière.
Vous êtes dur avec vos commentateurs, je sais que c’est votre période NB mais franchement, vos couleurs me manquent. Je voulais juste vous le redire, comme ça en passant. Je guette chaque jour, ne croyez pas que je ne viens plus….
Mais je sais bien que je soulage ma vessie dans un violoncelle…
Et vous avez raison de faire ce que vous voulez, au final.
¸¸.•*¨*• ☆
Chère Célestine, la première image est le fusain dans son entier, les deux autres sont deux détails. Je les ai adjoints pour montrer les possibilités infinies du fusain tel que je l’envisage. Le flou, l’allusion, le trait qui feint l’hésitation, l’estompe qui noie le contour, les gris chauds, les noirs profonds, les blancs à la gomme mie de pain : petites réjouissances, plaisantes distractions… Hélas pour vous j’en ai encore pas mal en projet. J’arpente ma ville. Elle colle en ce moment à mon humeur. Je rêve de paysages de pluie, de nuit, de neige, au charbon…
J’ai aussi bien sûr des pièces en couleur, des nus et des portraits, que je posterai bientôt. Mais il faudrait que je prenne le temps de les photographier. Patience…
A tout bientôt, donc, Célestine…