Ouh là, point d’allégorie de ce type. L’électeur est un piètre danseur, il a les deux pieds dans le même sabot… Il manque de grâce, choisit ses chaines avec délectation, se complait un jour dans l’idolâtrie, le lendemain dans la haine. Rien chez lui n’est léger, aérien, svelte. Ses calculs sont faux, ses intuitions mauvaises, son goût pour la médiocrité insatiable. Il manque de panache, ou de retenue. Il n’est jamais juste… Il est juste bon à avaler des couleuvres, à haïr son prochain, à se dévouer pour son patron, à duper ses proches, à mourir à la guerre. S’il ne savait pas sur quel pied danser ce serait trop beau! Non, il sautille sur place à côté de ses pompes, sûr de son bon droit…
Mille mercis de votre commentaire cependant. Je garde l’idée du beau mouvement réussi ! Au plaisir Célestine…
Beau mouvement, cher ami ! Très réussi.
Il ne sait pas sur quel pied danser : serait-ce une allégorie de l’électeur français ?
¸¸.•*¨*• ☆
Ouh là, point d’allégorie de ce type. L’électeur est un piètre danseur, il a les deux pieds dans le même sabot… Il manque de grâce, choisit ses chaines avec délectation, se complait un jour dans l’idolâtrie, le lendemain dans la haine. Rien chez lui n’est léger, aérien, svelte. Ses calculs sont faux, ses intuitions mauvaises, son goût pour la médiocrité insatiable. Il manque de panache, ou de retenue. Il n’est jamais juste… Il est juste bon à avaler des couleuvres, à haïr son prochain, à se dévouer pour son patron, à duper ses proches, à mourir à la guerre. S’il ne savait pas sur quel pied danser ce serait trop beau! Non, il sautille sur place à côté de ses pompes, sûr de son bon droit…
Mille mercis de votre commentaire cependant. Je garde l’idée du beau mouvement réussi ! Au plaisir Célestine…