Deux fois le même nu sur un même papier…

aquarelle portraits le havre soluto

Acrylique sur papier 65 cm x 50 cm Octobre 2016

aquarelle portraits le havre soluto

Acrylique sur papier (détail) Octobre 2016

Détail de chacun des deux pieds gauches sur le précédent billet…

6 réflexions au sujet de « Deux fois le même nu sur un même papier… »

    1. soluto Auteur de l’article

      Merci cher Luc de votre commentaire… Le bon moment que ce fut d’allumer cette belle paire ; les têtes en torches, les pieds inspirés de ceux des saltimbanques de Picasso, les corps en zigzags, la lumière bien verticale… D’ailleurs c’est simple je retourne illico à l’atelier pour voir s’il n’en resterait pas d’autres à redresser sur mes papiers peints… Belle journée à vous…

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      1. lucm.reze

        Le contrôle du corps et du positionnement des pieds associé à la grâce. Votre talent rend parfaitement cet équilibre. J’imagine que votre modèle a une formation de danseuse classique.
        Bonne soirée cher Soluto

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        1. soluto Auteur de l’article

          Pas de modèle sur ce coup-là, cher Luc… Une reconstruction à partir d’une photo de Marjorie (ceux qui suivent le blog depuis un moment savent…)
          Et que je lui creuse les reins, lui aplatis la brioche, lui arrondis les seins (qu’elle avait si doux), lui moule la cuisse et lui tors le pied (j’aime les pieds forts, qui s’écrasent bien sur les parquets, l’herbe verte, les langues qui pendent) Au bout de ce traitement elle ne se ressemble plus. Avec moi Photoshop et la chirurgie esthétique n’ont pas beau schpile. Je corrige à l’œil et au crayon, dans un esprit de vengeance et de possession, puis je punis au pinceau, dans la transe et l’éblouissement… Belle journée à vous et bon travail…
          PS: Ceci dit, je n’ai rien contre le vif et toute personne qui souhaite poser, du portrait au nu, sera la bienvenue… Mon adresse mail est en page d’accueil.

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    1. soluto Auteur de l’article

      Merci de votre passage et de vos mots cher Florent… D’où vient que la peau des femmes prend si bien la lumière, accueille si douloureusement les ombres, s’ensoleille ou refroidit si vite ?…

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