Merci chère Laurence pour ce compliment…
Et oui, certaines femmes sont de sacrés diablesses. Aussi finaudes en amour que l’homme est bêta… Bien sûr, ce n’est pas vrai. Mais j’adore la misogynie quand elle est de mauvaise foi. Les vrais misogynes, eux, pourrissent notre quotidien et compliquent tout. Ils instaurent la guerre où l’on ne devrait déclarer que la tendre guerre, et parce qu’ils n’aiment pas les femmes voudraient en dégoûter les autres… Quand je pense qu’ils ont le vent de l’histoire dans le dos, j’en frémis…
Oui, bon, ben là, s’il faut aller fouiller dans les cours de latin!
Après une recherche paresseuse sur internet, voici une traduction pour le moins étrange de votre intitulé:
» Aime ou déteste, et audacieux dans tout ce que je dois faire du mal à la femme, il peut souhaiter et les arts et l’artisanat »
Ben merda alors !
Bien à vous cher oiseau.
« La femme est audacieuse dans tout ce qu’elle aime et qu’elle déteste : elle sait nuire avec art quand elle veut… » correspondra mieux à l’esprit de cette locution latine chère Françoise… A tout bientôt…
La flemme est l’audace rieuse de tous ceux qui aiment et qui déstressent : elle séduit et narre ce qu’elle veut. J’en perce mon latin.
Bien à vous.
Florent
Incorrigible, romantique, romanesque ? J’en ai connu des comme ça ! Tenez, regardez, à travers ma chemise, à l’endroit du cœur, ça fume encore… Un seau de cynisme pour éteindre tout ça, que je dis, moi… Comme disait l’autre : « En se gardant de l’amour, on ne se prive pas des plaisirs de Vénus ; au contraire, on les prend sans risquer d’en payer la rançon. La volupté véritable et pure est le privilège des âmes raisonnables plutôt que des malheureux égarés. » C’est de Lucrèce, dans son De rerum natura (vous n’étiez pas née). En latin, ça claque, mais comme j’ai déjà fait le coup la semaine dernière…
Oh, Célestine, on dit que les Vénus de la vieille école, quatre-vingt-quinze fois sur cent… (Il est vrai qu’au moins elles s’emmerdent sans s’en apercevoir, ce qui permet au coq imbécile et prétentieux…)
Très jolie peinture …. Citation très juste pour certaines diablesses.
Merci chère Laurence pour ce compliment…
Et oui, certaines femmes sont de sacrés diablesses. Aussi finaudes en amour que l’homme est bêta… Bien sûr, ce n’est pas vrai. Mais j’adore la misogynie quand elle est de mauvaise foi. Les vrais misogynes, eux, pourrissent notre quotidien et compliquent tout. Ils instaurent la guerre où l’on ne devrait déclarer que la tendre guerre, et parce qu’ils n’aiment pas les femmes voudraient en dégoûter les autres… Quand je pense qu’ils ont le vent de l’histoire dans le dos, j’en frémis…
Oui, bon, ben là, s’il faut aller fouiller dans les cours de latin!
Après une recherche paresseuse sur internet, voici une traduction pour le moins étrange de votre intitulé:
» Aime ou déteste, et audacieux dans tout ce que je dois faire du mal à la femme, il peut souhaiter et les arts et l’artisanat »
Ben merda alors !
Bien à vous cher oiseau.
« La femme est audacieuse dans tout ce qu’elle aime et qu’elle déteste : elle sait nuire avec art quand elle veut… » correspondra mieux à l’esprit de cette locution latine chère Françoise… A tout bientôt…
La flemme est l’audace rieuse de tous ceux qui aiment et qui déstressent : elle séduit et narre ce qu’elle veut. J’en perce mon latin.
Bien à vous.
Florent
Raymond Roussel n’eut pas mieux dit, cher Florent… Merci de ces mots, très pertinents au demeurant…
https://fr.wikisource.org/wiki/Comment_j%E2%80%99ai_%C3%A9crit_certains_de_mes_livres
Aznavour embrassant Lili Palmer ?
Très beau tableau, cher Soluto.
J’aime beaucoup , vraiment. Incorrigible romantique romanesque…
¸¸.•*¨*• ☆
Incorrigible, romantique, romanesque ? J’en ai connu des comme ça ! Tenez, regardez, à travers ma chemise, à l’endroit du cœur, ça fume encore… Un seau de cynisme pour éteindre tout ça, que je dis, moi… Comme disait l’autre : « En se gardant de l’amour, on ne se prive pas des plaisirs de Vénus ; au contraire, on les prend sans risquer d’en payer la rançon. La volupté véritable et pure est le privilège des âmes raisonnables plutôt que des malheureux égarés. » C’est de Lucrèce, dans son De rerum natura (vous n’étiez pas née). En latin, ça claque, mais comme j’ai déjà fait le coup la semaine dernière…
Certes.
Mais il se trouve que j’ai des côtés » Vénus de la vieille école » à la Brassens…
¸¸.•*¨*• ☆
Oh, Célestine, on dit que les Vénus de la vieille école, quatre-vingt-quinze fois sur cent… (Il est vrai qu’au moins elles s’emmerdent sans s’en apercevoir, ce qui permet au coq imbécile et prétentieux…)