6 réflexions au sujet de « Le Havre de la fenêtre du bureau… »

  1. Célestine

    Voilà un titre tout à fait mystérieux…la fenêtre est-elle un havre quand on est au bureau ? Ou bien le bureau est-il lui-même un havre dans une vie agitée, pour ne pas dire turbide ?
    Je joue, mais j’ai bien vu, quand même, la majuscule …
    Ce que j’aime, dans votre tableau, c’est l’harmonie des couleurs. Ces bleus et ces ocres sont comme mariés, entre eux depuis toujours. Ils se parlent sans une parole.
    Très bonne année, cher Soluto !
    ¸¸.•*¨*• ☆

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    1. soluto Auteur de l’article

      Le Havre de la fenêtre du bureau ? Un private joke à destination d’une toute petite poignée qui savent ce qu’est ce bureau-là et ce qu’on y entend. Un titre à la Colette, que j’aime tant. (En ce moment je relis Prisons et paradis. Je pense que ces courts textes, s’ils ne sont pas encore passés par vous, vous plairaient.) J’ai voulu peindre cette portion de ma ville en couleurs tièdes et froides… Indigos, terres de Sienne, Jaunes de Naples… Belle année à vous Célestine… Merci de votre attention soutenue, que 2016 vous enchante…

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  2. Françoise

    Ainsi vous avez un bureau…avec vue!
    Moi, qui vous imaginais haletant attelé à la Tâche en un atelier à peine éclairé par quelque verrière vieillotte,
    penché à explorer les courbes des femmes; vous nous faites découvrir un Havre tout propret aux couleurs italiennes, certes froides, mais italiennes quand même…les deux cheminées sont-elles votre Vésuve, monstres endormis ayant sédimenté tous les habitants de la cité?
    Bien à vous.

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    1. soluto Auteur de l’article

      Mais qui vous dit qu’il s’agit de mon bureau ? Gardez-vous des déductions hâtives… Mon atelier est ailleurs. C’est une coquille dans laquelle je puis de moins en moins facilement me mouvoir tant les toiles s’accumulent. Je me tiens dans mon carré de lumière. Aussi peut-on souvent me voir à ma fenêtre — mon antre est à l’entresol d’une jolie maison — penché sur ma toile, le regard oblique sur ses courbes que vous évoquez et que je me dois de protéger de la curiosité des quidams qui se baguenaudent… J’explore à pleines pâtes… Quant aux deux phallus ils sont une curiosité de la porte Océane. Où qu’on soit il suffit de tourner la tête pour les apercevoir. Quand le ciel est bas ils ont la pointe dans les nuages… Ravi de vous retrouver cette année chère Françoise…

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