Parlons un peu du numéro automne-hiver de la revue Décapage.
On y trouve une nouvelle inédite dans laquelle je raconte l’histoire de la jeune Fernande.
Je vous invite à vous y plonger ! Vous goûterez ainsi l’ambiance délicieuse de 1973, partagerez la vie du petit café de Drogancourt, frissonnerez avec la fillette devant le juke-box, inventerez avec elle des pas sur les chansons de Sheila.
Un goût d’enfance vous montera aux lèvres…Il sera vite dissipé.
Si vous vous aventurez dans ces quelques pages vous saurez aussi pourquoi la vie simple et modeste de ma petite héroïne s’est trouvée bouleversée par un grand texte littéraire. Quelques noirs secrets vous seront enfin révélés, à vous seul, qui vous expliqueront pourquoi les photos, parfois, doivent changer de cadre…
Quand je pense à Fernande* je me dis que, décidément, l’amour n’est pas un bouquet de violettes.
*La nouvelle reprend le titre de la célèbre chanson Quand je pense à Fernande de Georges Brassens
Les premières lignes de la nouvelle…
La page d’illustration de Fernande, crayon bleu, mise en couleur numérique…
Vraiment très alléchant votre texte, et moi qui croyait qu’en un petit clic j’allais pouvoir la lire ce soir cette histoire, pour me changer un peu de Schiffter! Ce n’est pas grave, je saurai patienter, et merci de me faire découvrir cette revue littéraire .
je croyais, avec un -s- bien sûr ……..
> Pardonné…