Jusques aux pervers nonchaloirs
De ces yeux noirs,
Jusque, depuis ces flemmes blanches
De larges hanches
Et d’un ventre et de deux beaux seins
Aux fiers dessins, Tout pervertit, tout convertit tous mes desseins Jusques à votre menterie,
Bouche fleurie,
Jusques aux pièges mal tendus
Tant attendus,
De tant d’appas, de tant de charmes,
De tant d’alarmes, Tout pervertit, tout avertit mes tristes larmes
Paul Verlaine
Très belle illustration de ce poème tristissime…
> Chère Célestine, merci de votre commentaire… Ainsi vous trouvez ce poème triste? Je partage votre avis mais il me semble qu’il y a aussi chez l’auteur de l’attendrissement et de la complaisance. Un goût délicatement suggéré pour la souffrance et la perdition. Au plaisir de vous revoir sur ces pages…