Acrylique sur toile — à peu près 40 cm sur 70 cm —
(détail de la toile « Le regard coupable » bientôt sur ce blog)
5 réflexions au sujet de « Le regard coupable, 2ème extrait… »
Pouchka
De quoi sont ils coupables ? avec leur air sombre .
est ce une enigme? ou simplement un jeu de votre part pour faire jouer sur votre toile les effets de pinceaux, de couleur sur des êtres qui passent .Que vous nous promeniez dans l’enigme ou pas , continuez ……..
Oh ! La cavité des yeux, cette bouche absente/présente , le teint si pâle et les traits incertains. Coupable ? Il s’est retiré en lui-même en tout cas et tout se qui passe devant le néant de son regard n’a plus d’importance ou bien n’existe plus tout simplement. Un détail, ce visage ? vite, la suite !
Vous savez quoi ? J’y ai repensé longtemps après , je veux dire à ce visage et à cette culpabilité. Et tout naturellement le roman « Crime et Châtiment » du p’tit père Dostoîevski est venu se superposer sur le visage. Allez, Rascolnicoff, ça y est, on t’a reconnu ! Chapeau à l’artiste en tout cas pour susciter ces évocations-là !
> En tout cas, Ginette, s’il a surgit dans votre mémoire, c’est bien malgré moi! Je ne suis pas un familier des romans de Dostoïevsky… Et pourtant il est dans mes rayonnages. Un cadeau… Et voilà! à cause de vous je vais être obligé de le lire!!! Comme si je n’avais que ça à faire!!! Merci!!! Trêve de plaisanterie… J’ai voulu faire un visage qui, tel un trou noir, aspirerait toutes les énergies… Un regard qui capte et retienne… Les petites histoire que je me raconte quand je barbouille… Si vous saviez… (Sera à Dieppe en juin cette toile… à la Villa…)
De quoi sont ils coupables ? avec leur air sombre .
est ce une enigme? ou simplement un jeu de votre part pour faire jouer sur votre toile les effets de pinceaux, de couleur sur des êtres qui passent .Que vous nous promeniez dans l’enigme ou pas , continuez ……..
Un mot: j’adorrrrre!
Oh ! La cavité des yeux, cette bouche absente/présente , le teint si pâle et les traits incertains. Coupable ? Il s’est retiré en lui-même en tout cas et tout se qui passe devant le néant de son regard n’a plus d’importance ou bien n’existe plus tout simplement. Un détail, ce visage ? vite, la suite !
Vous savez quoi ? J’y ai repensé longtemps après , je veux dire à ce visage et à cette culpabilité. Et tout naturellement le roman « Crime et Châtiment » du p’tit père Dostoîevski est venu se superposer sur le visage. Allez, Rascolnicoff, ça y est, on t’a reconnu ! Chapeau à l’artiste en tout cas pour susciter ces évocations-là !
> En tout cas, Ginette, s’il a surgit dans votre mémoire, c’est bien malgré moi! Je ne suis pas un familier des romans de Dostoïevsky… Et pourtant il est dans mes rayonnages. Un cadeau… Et voilà! à cause de vous je vais être obligé de le lire!!! Comme si je n’avais que ça à faire!!! Merci!!! Trêve de plaisanterie… J’ai voulu faire un visage qui, tel un trou noir, aspirerait toutes les énergies… Un regard qui capte et retienne… Les petites histoire que je me raconte quand je barbouille… Si vous saviez… (Sera à Dieppe en juin cette toile… à la Villa…)