Un des méfaits du Face Book est la raréfaction des commentaires sur les blogs… Je dirais même qu’il renforce nos habitudes de zappeurs, incapables de nous arrêter désormais sur une page de blog, préférant survoler d’un oeil distrait les nouvelles instantanées du F-B… Nous donner l’illusion, en plus, d’être au courant de mille choses…
Je retrouve avec plaisir votre dessin, avec la couleur en prime (mais ma préférence va toujours au noir/blanc).
Excellent dessin. Je suis d’accord avec Flora mais j’essaye de visiter régulièrement les blogs, ce qui demande du temps supplémentaire pris sur le temps de travail! Je reviens au dessin, toujours aussi précis et bien observé. On dit que les chiens finissent à ressembler à leurs maitres, ou les maîtres aux chiens, ce qui est souvent juste. Bonne journée Soluto!
Oh oh! Glam and sexy ! Bref. La ressemblance est frappante. Est-il naturel de choisir l’autre (animal ou humain) pour ce qu’il a de commun avec soi ? Se sent-on moins seul ? Comme d’habitude, votre coup de patte ne rate rien.
> Chère V. je m’en serais voulu de les manquer ces deux-là… (Mais pour vous répondre plus précisément, se sent-on moins seul dans le semblable ou dans l’altérité? Faut-il se fondre ou se différencier, se distinguer? Où sont les malins qui pourraient nous éclairer?…)
Un des méfaits du Face Book est la raréfaction des commentaires sur les blogs… Je dirais même qu’il renforce nos habitudes de zappeurs, incapables de nous arrêter désormais sur une page de blog, préférant survoler d’un oeil distrait les nouvelles instantanées du F-B… Nous donner l’illusion, en plus, d’être au courant de mille choses…
Je retrouve avec plaisir votre dessin, avec la couleur en prime (mais ma préférence va toujours au noir/blanc).
Excellent dessin. Je suis d’accord avec Flora mais j’essaye de visiter régulièrement les blogs, ce qui demande du temps supplémentaire pris sur le temps de travail! Je reviens au dessin, toujours aussi précis et bien observé. On dit que les chiens finissent à ressembler à leurs maitres, ou les maîtres aux chiens, ce qui est souvent juste. Bonne journée Soluto!
Oh oh! Glam and sexy ! Bref. La ressemblance est frappante. Est-il naturel de choisir l’autre (animal ou humain) pour ce qu’il a de commun avec soi ? Se sent-on moins seul ? Comme d’habitude, votre coup de patte ne rate rien.
> Chère V. je m’en serais voulu de les manquer ces deux-là… (Mais pour vous répondre plus précisément, se sent-on moins seul dans le semblable ou dans l’altérité? Faut-il se fondre ou se différencier, se distinguer? Où sont les malins qui pourraient nous éclairer?…)