
Grande, forte, teinte en acajou, les yeux soulignés de poches, c’était Renée, la doyenne de l’endroit. Ses lèvres, charnues et rouges, accentuaient la blancheur de sa denture puissante et remarquablement plantée. Elle portait une robe étroite, fendue sur le côté, qui se tendait sous la poussée des fesses.
Pierre V. Lesou (Coeur de Hareng – 1958)
coeur de hareng ? et foie d’morue ?
Elle est parfaite la Renée, la posture un peu écrasée par son poids, pas complexée pour deux sous, le sourcil bien fait… bravo Soluto ! Mais la prochaine fois que vous venez épier la femme de ménage de ma vieille voisine, pour mieux la croquer… arrêtez-vous à la maison, il y a toujours du café chaud et puis… vous me parlerez de Renée !
… ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre… mais c’est bien elle, je la remets, une Renée qui continue à imposer sa présence
Toujours aussi épatant de justesse dans le moindre détail…
> Mille mercis Flora… J’aime, on l’aura remarqué, les personnages massifs… Celui-ci était délicieux à croquer…