Comment vous le dire, arretez de fumer les ptites herbes de chez Ducros, ou plutôt non; continuer !!! Je suis ravi qd vous partez dans le délire que se soit en images ou dans vos textes ou transpire votre grande sensibilité et l’humour un peu rustaude à la havraise. Le havre ma ville natale; j’y suis né en sept 44. Ce fut pour moi aussi le port de mes errances; avec quelques croquis perdus on ne sait ou. Depuis le temps a passé…
> Bienvenue à vous Pierre… Merci de votre petit mot… J’adore ma ville, j’y traine, j’y rôde, j’y flâne, même quand je devrais être penché sur ma table à dessin ou arrimé à mon chevalet… J’aime en ce moment sa grisaille, ses couleurs lavées, son ciel détrempé, gouaché à la va-vite… Les havrais m’ont gentiment accueilli quand je suis arrivé dans leur fief et contrairement à sa mauvaise image c’est une ville douce à vivre, aérée, populaire, variée… Il faut en profiter. Pas sûr que ça dure… Il faut se dépêcher de la capturer à coup de photos, de croquis, d’images, la modernité saccage tout sur son passage… Le Havre tourne au chantier permanent… Merci encore et revenez quand vous voulez, Pierre…
Comment vous le dire, arretez de fumer les ptites herbes de chez Ducros, ou plutôt non; continuer !!! Je suis ravi qd vous partez dans le délire que se soit en images ou dans vos textes ou transpire votre grande sensibilité et l’humour un peu rustaude à la havraise. Le havre ma ville natale; j’y suis né en sept 44. Ce fut pour moi aussi le port de mes errances; avec quelques croquis perdus on ne sait ou. Depuis le temps a passé…
un p’tit gars du Havre
> Bienvenue à vous Pierre… Merci de votre petit mot… J’adore ma ville, j’y traine, j’y rôde, j’y flâne, même quand je devrais être penché sur ma table à dessin ou arrimé à mon chevalet… J’aime en ce moment sa grisaille, ses couleurs lavées, son ciel détrempé, gouaché à la va-vite… Les havrais m’ont gentiment accueilli quand je suis arrivé dans leur fief et contrairement à sa mauvaise image c’est une ville douce à vivre, aérée, populaire, variée… Il faut en profiter. Pas sûr que ça dure… Il faut se dépêcher de la capturer à coup de photos, de croquis, d’images, la modernité saccage tout sur son passage… Le Havre tourne au chantier permanent… Merci encore et revenez quand vous voulez, Pierre…