Des portraits comme des paysages, et des paysages comme des portraits…même encre, même touche, même regard, même cadre immobile et proche….une série où alternerait paysages de bords de route et visages serait troublante…
après la femme à barbe, l’homme tronc, les enfants siamois, le cirque des perdus, des perdants, des salauds magnifiques et autres curiosités….et votre blog prend parfois des allures de petit cabinet de curiosités ..où vous passez au tamis indécisions, lâchetés, fragilités, mesquinerie, détails flamboyant, ratages, frustrations, coups bas, avec nous – mêmes , avec les autres.
J’aime beaucoup cette série de portaits, les dessins (et celui-ci particulièrement) tout autant que les textes. J’en aime le point de vue.
> Jalexis, c’est déjà un peu ça… Parfois j’enchaîne les visages et parfois, au fil de mes errances, ce sont les paysages qui me retiennent… Je ne souhaite pas organiser mes post et je mets au fur et à mesure ce qui ne me semble pas trop mauvais…
>Merci Sylvie de cette attention que vous m’accordez sans faillir…
> Chambrun? Tout va bien? à la fraîche? oui, oui… Et pourtant j’ai encore oublié de plier les lapins… ça va mettre du bleu partout…
> Mais non Aby, pas de tristesse là dedans. Ce n’est qu’un texte. Une histoire méchante. Et comme sur cette petite carte tendue par mon personnage, il ne faut pas croire tout ce qui est écrit!…
ABY, j »avais envie de recauser de ce texte en lisant votre remarque….je le trouve jubilatoire ce salaud calculateur et son absence de complexe, de scrupules à être le pourri de service évite à mon sens la tristesse justement. Quant à la Christine, dans le regard du salaud de service, ce qui est fort, c »est qu’on en vient à avoir envie de lui faire mal aussi….ou au moins à ne pas ressentir de compassion….car il est vrai que la Christine est épaisse….voire carrément lourde…..bref, quasi ça nous triturerait la fibre sado ! brrrr. Mais n’oublions pas la chute de l’histoire: l’arroseur arrosé n’a pas mangé de chair fraiche ce soir -la et la "victime" , plus par niaiserie que par candeur, ne se sachant pas victime potentielle ne devient pas victime….juste une fausse carte de visite entre les mains…elle aurait pu perdre plus gros en croisant cet olibrius !
Cher Soluto, désolée si je suis à côté de ce que vous vouliez dire ! Et du coup, avec votre remarque ABY, je vais méditer un peu sur la définition que je me fais de la tristesse.
Des portraits comme des paysages, et des paysages comme des portraits…même encre, même touche, même regard, même cadre immobile et proche….une série où alternerait paysages de bords de route et visages serait troublante…
après la femme à barbe, l’homme tronc, les enfants siamois, le cirque des perdus, des perdants, des salauds magnifiques et autres curiosités….et votre blog prend parfois des allures de petit cabinet de curiosités ..où vous passez au tamis indécisions, lâchetés, fragilités, mesquinerie, détails flamboyant, ratages, frustrations, coups bas, avec nous – mêmes , avec les autres.
J’aime beaucoup cette série de portaits, les dessins (et celui-ci particulièrement) tout autant que les textes. J’en aime le point de vue.
Aaaah… On n’est pas bien là ? À la fraîche… Paisibles…
Tiens, tu as oublié de signer ! L’artiste anonyme comme son sujet…
oh quelle tristesse…
> Jalexis, c’est déjà un peu ça… Parfois j’enchaîne les visages et parfois, au fil de mes errances, ce sont les paysages qui me retiennent… Je ne souhaite pas organiser mes post et je mets au fur et à mesure ce qui ne me semble pas trop mauvais…
>Merci Sylvie de cette attention que vous m’accordez sans faillir…
> Chambrun? Tout va bien? à la fraîche? oui, oui… Et pourtant j’ai encore oublié de plier les lapins… ça va mettre du bleu partout…
> Mais non Aby, pas de tristesse là dedans. Ce n’est qu’un texte. Une histoire méchante. Et comme sur cette petite carte tendue par mon personnage, il ne faut pas croire tout ce qui est écrit!…
Ah mais oui j’avais bien compris…mais ce texte reste cependant très triste à la lecture.
ABY, j »avais envie de recauser de ce texte en lisant votre remarque….je le trouve jubilatoire ce salaud calculateur et son absence de complexe, de scrupules à être le pourri de service évite à mon sens la tristesse justement. Quant à la Christine, dans le regard du salaud de service, ce qui est fort, c »est qu’on en vient à avoir envie de lui faire mal aussi….ou au moins à ne pas ressentir de compassion….car il est vrai que la Christine est épaisse….voire carrément lourde…..bref, quasi ça nous triturerait la fibre sado ! brrrr. Mais n’oublions pas la chute de l’histoire: l’arroseur arrosé n’a pas mangé de chair fraiche ce soir -la et la "victime" , plus par niaiserie que par candeur, ne se sachant pas victime potentielle ne devient pas victime….juste une fausse carte de visite entre les mains…elle aurait pu perdre plus gros en croisant cet olibrius !
Cher Soluto, désolée si je suis à côté de ce que vous vouliez dire ! Et du coup, avec votre remarque ABY, je vais méditer un peu sur la définition que je me fais de la tristesse.