Confisqués les bijoux sonores. Mise en place du dessin, premiers jus. La suite dans le prochain post…
Peindre c’est posséder un peu.
C’est vers la fin des années soixante-dix que j’accrochai à Oissel, banlieue de Rouen, mes premiers dessins. Que j’y trouvai mes premiers soutiens. Les hasards m’ont poussé ailleurs. Je suis ravi d’y revenir, quelques quarante ans et des brouettes après, avec ces toiles presque toutes inédites. J’y ai retrouvé Gérard Gantois, dont le travail me fascinait déjà, qui m’acceptait dans son petit coin d’atelier à Saint-Aubin Les Elbeuf, et que je regardais travailler pieusement… J’enrage du temps qui passe. Je n’ai encore rien dit… Le salon d’Oissel se poursuit jusqu’au 9 octobre. Je ne l’ai pas vu mais j’y serai ce dernier dimanche.
Depuis, la toile est finie. Je viens de retrouver cette photo, prise à la va-vite, dans de mauvaises conditions, mi-avril. J’en réalise de temps en temps pour voir l’avancement des travaux, garder un souvenir des premières couches. Là, on ne voit qu’un tiers de la toile. Je la posterai entière dès que j’aurai pris la peine de ressortir mon vieux réflex, qui prend la poussière mais qui reste incomparable pour réaliser des images fidèles.
Mettre le pied sur la queue du rongeur…
La photo a deux heures… Prise à l’atelier avant d’en partir… Petits essais de compositions sur le bord du chevalet avec ce que j’avais sous la main…
Huile sur toile, 50 cm x 70 cm, 2016
Le même , deuxième séance…
Huile sur toile, 40 cm x 40 cm, 2016
Le soleil vient de se lever
Encore une belle journée
L’amour écœuré
Huile sur toile, 40 cm x 50 cm, 2016
Huile sur toile, 50 cm x 70 cm, 2016
Le même , deuxième séance…