(et qui a dit : « Quand ça a dîné sardine ? » pas de ça Lisette…)
4 réflexions au sujet de « Trois grâces, bien serrées, à l’huile… »
Florent
Cette touffe de noir Jésus qui ruisselle dans son berceau…C est extra. Je songe à Ferré en regardant votre tableau.
Comme à Ostende,en amour,Ça t’ va. De belles choses chez Ferré.
Florent
Ah, vous me dites ça, à moi ! Je le connais par cœur le vieux grigou, et je l’ai beaucoup aimé… De belles choses, bien sûr. Mais il a mal vieilli dans le tambour de mon souvenir. Je l’ai essoré et il a tant rétréci que je n’y pense plus jamais. Il ne tourne pas à l’atelier (et d’ailleurs, grrr, mon lecteur de cd est en panne…)Je préfère, avec les ans, la musique aux paroles… Et parfois plus encore le silence à la musique. Dans le train et les salles d’attente je ne chante plus dans ma tête, je me récite des vers, ou j’en compose que j’oublie aussitôt… Bien à vous Florent, merci de votre commentaire. Je suis sans doute très injuste avec le lion Léo.
Pourquoi est-ce que je crois apercevoir, en douce, un quatrième personnage dissimulé comme un voleur derrière un loup, pour respirer, mine de rien, cet incomparable parfum de femme ? C’est Risible non ?
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Qui dit « no » au risible par feintes de femmes ? Ah cette odeur de sainteté, d’âcre, de musc, d’amour, de cuisse sine qua non, ciné madone, sous le beau ciel de Napoli… Les mêmes Suzanne et les mêmes Vieillards… (à bientôt Célestine. Prochain post sur ce même sujet…)
Cette touffe de noir Jésus qui ruisselle dans son berceau…C est extra. Je songe à Ferré en regardant votre tableau.
Comme à Ostende,en amour,Ça t’ va. De belles choses chez Ferré.
Florent
Ah, vous me dites ça, à moi ! Je le connais par cœur le vieux grigou, et je l’ai beaucoup aimé… De belles choses, bien sûr. Mais il a mal vieilli dans le tambour de mon souvenir. Je l’ai essoré et il a tant rétréci que je n’y pense plus jamais. Il ne tourne pas à l’atelier (et d’ailleurs, grrr, mon lecteur de cd est en panne…)Je préfère, avec les ans, la musique aux paroles… Et parfois plus encore le silence à la musique. Dans le train et les salles d’attente je ne chante plus dans ma tête, je me récite des vers, ou j’en compose que j’oublie aussitôt… Bien à vous Florent, merci de votre commentaire. Je suis sans doute très injuste avec le lion Léo.
Pourquoi est-ce que je crois apercevoir, en douce, un quatrième personnage dissimulé comme un voleur derrière un loup, pour respirer, mine de rien, cet incomparable parfum de femme ? C’est Risible non ?
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Qui dit « no » au risible par feintes de femmes ? Ah cette odeur de sainteté, d’âcre, de musc, d’amour, de cuisse sine qua non, ciné madone, sous le beau ciel de Napoli… Les mêmes Suzanne et les mêmes Vieillards… (à bientôt Célestine. Prochain post sur ce même sujet…)