
Il avait répandu tant de souffrance et donné tant de son temps, de son argent et de son énergie qu’il lui était devenu impossible de se dédire ou de se reprendre. Et la peur de ne jamais se redresser, pour un jour marcher droit, commençait à grandir…
Quelle harmonie dans ce croquis. Et quel trait ! Bravo. Extra. Sup… . .. @+
En même c’est d’autant plus difficile qu’il n’a plus de jambes cet homme là!
Très beau dessin.
J’adore ces dessins en traits….
De plus, l’angle est difficile. Grande virtuosité. Bonne nuit : flora
> Ah ah ah… J’aime quand Oissel passe par ici! Bien à vous Jero, dont je suis le blog avec régularité et attention (c’est que j’y ai passé du temps le long de ces quais que vous évoquez si souvent…) Quoique je ne sois pas nostalgique, j’ai plaisir à me promener dans mon ancienne petite ville, fut-ce virtuellement… (j’ai pour projet de revenir y faire quelques croquis…)
> Nadège… Il y a des situations qui vous coupent les pattes, et c’est à dessein que je l’ai amputé celui-là…
> Plaisir de vous retrouver cher Jalexis…
> Oh vous savez Flora… La virtuosité, c’est un peu comme l’éloquence… Tout dépend au service de quoi elle est mise… Merci, merci de vos visites…
Fabuleux cet homme tronc.