> Chère Sylvie, d’autres carrés de chocolats vous attendent aussi derrière l’autopont… Il faut se dépêcher car le quartier de l’Eure tombe aux mains des promoteurs…
> Doh? Bon, allons-y pour "Doh"… Ah RoskÖ… vos commentaires parfois trahissent votre gourmandise…
> François Matton… ben oui… ça commence à faire une jolie liasse. L’idée d’exposer tout ça chemine. Je cherche un petit lieu d’ailleurs… Si certains ont une idée… Merci de votre commentaire. Tardi… En voilà un dont je ne sais trop quoi penser…
Ah bon ? Vous n’êtes pas plus sensible que ça aux quartiers de Paris dessinés par Tardi ? Moi je trouve qu’il parvient à restituer l’atmosphère de grisaille du début du siècle dernier comme personne, avec une belle économie de moyens. (Mais je dois dire que j’aime isoler une case ou deux du reste pour m’y attarder indépendamment du récit…)
j’aime bien ce coin – là. Belle densité ce dessin. Ces petits carrés de ville je me les savoure comme des carrés de chocolat…
Doh! Du chocolat !
Ces lavis urbains commencent à former une belle collection !
Ca renouvelle le meilleur de Tardi (c’est dire si je trouve ça réussi !)
> Chère Sylvie, d’autres carrés de chocolats vous attendent aussi derrière l’autopont… Il faut se dépêcher car le quartier de l’Eure tombe aux mains des promoteurs…
> Doh? Bon, allons-y pour "Doh"… Ah RoskÖ… vos commentaires parfois trahissent votre gourmandise…
> François Matton… ben oui… ça commence à faire une jolie liasse. L’idée d’exposer tout ça chemine. Je cherche un petit lieu d’ailleurs… Si certains ont une idée… Merci de votre commentaire. Tardi… En voilà un dont je ne sais trop quoi penser…
Ah bon ? Vous n’êtes pas plus sensible que ça aux quartiers de Paris dessinés par Tardi ?
Moi je trouve qu’il parvient à restituer l’atmosphère de grisaille du début du siècle dernier comme personne, avec une belle économie de moyens.
(Mais je dois dire que j’aime isoler une case ou deux du reste pour m’y attarder indépendamment du récit…)
Cher Soluto ce sont vos dessins les carrés de chocolat que je savoure….montrez -moi donc l’arrière de l’autopont !