le long des voies, il y a du bruit, souvent des courants d’air, des papiers gras accrochés aux arbustes gris de la ville. On ne s’y arrête pas. On connait son chemin, là , pile là, je mets le clignotant et je m’engage à droite, là je reste sur la file du mileu, pile là. Voie de passage. Ou on cherche sa route le nez en l’air sur les panneaux de signalisation, on a peur de se tromper de file, de prendre le mauvais chemin, le mauvais aiguillage et d’être pris au piège dans un méandre de goudron où il faut avancer, avancer encore. Coup de klaxon, appel de phare et tout à coup le 50 km à l’heure semble vertigineux. Le long des voies où on ne s’arrête pas. Et ici, enfin, on coupe le moteur et on se gare.
j’aime decidement bcp ces petits lavis ; les compositions sont parfaites. Je suis juste géné par les ajouts de blancs un peu bleutés en transparence car Ils ne me semblent pas dans les teintes du papier… et en fait… sont ils necessaires ? (bon je pinaille einh… )
J’aime beaucoup tes paysages…peindre des choses que l’on ne regarde plus ou pas pour les montrer différement. Tu fais de la bd ou as fait non? Ou tu vas faire?…ça t’irait très bien.
> Sylvie, merci de ce petit texte… Un jour, peut-être, nous retrouverons-nous au pied d’un talus, parmi les papiers gras, à chercher le bon angle pour nos images… > Grisco… Le scanner ajoute encore au côté bleuté de la gouache. Je pourrais sans doute manipuler l’image pour retrouver l’équilibre colorimétrique des originaux mais… pfff…. je préfère passer mon temps à dessiner… Je vais pourtant y réfléchir… >Chère Aby, d’abord merci de votre fidélité… La bd? oui, non, j’y pense… Pourquoi pas?… Qu’une idée d’histoire vaille le coup et je me lance…
le long des voies, il y a du bruit, souvent des courants d’air, des papiers gras accrochés aux arbustes gris de la ville. On ne s’y arrête pas. On connait son chemin, là , pile là, je mets le clignotant et je m’engage à droite, là je reste sur la file du mileu, pile là. Voie de passage. Ou on cherche sa route le nez en l’air sur les panneaux de signalisation, on a peur de se tromper de file, de prendre le mauvais chemin, le mauvais aiguillage et d’être pris au piège dans un méandre de goudron où il faut avancer, avancer encore. Coup de klaxon, appel de phare et tout à coup le 50 km à l’heure semble vertigineux. Le long des voies où on ne s’arrête pas. Et ici, enfin, on coupe le moteur et on se gare.
j’aime decidement bcp ces petits lavis ; les compositions sont parfaites. Je suis juste géné par les ajouts de blancs un peu bleutés en transparence car Ils ne me semblent pas dans les teintes du papier… et en fait… sont ils necessaires ? (bon je pinaille einh… )
J’aime beaucoup tes paysages…peindre des choses que l’on ne regarde plus ou pas pour les montrer différement.
Tu fais de la bd ou as fait non?
Ou tu vas faire?…ça t’irait très bien.
> Sylvie, merci de ce petit texte… Un jour, peut-être, nous retrouverons-nous au pied d’un talus, parmi les papiers gras, à chercher le bon angle pour nos images…
> Grisco… Le scanner ajoute encore au côté bleuté de la gouache. Je pourrais sans doute manipuler l’image pour retrouver l’équilibre colorimétrique des originaux mais… pfff…. je préfère passer mon temps à dessiner… Je vais pourtant y réfléchir…
>Chère Aby, d’abord merci de votre fidélité… La bd? oui, non, j’y pense… Pourquoi pas?… Qu’une idée d’histoire vaille le coup et je me lance…