5 réflexions au sujet de « La belle jeunesse s’use à démêler le tien du mien… »

    1. soluto Auteur de l’article

      En ce temps-là j’étais crédule, un mot m’était promission. Et je prenais les campanules pour les fleurs de la passion.
      Le poème est sublime, la musique de Ferré tourbillonnante, l’interprétation de Montand piquante et articulée… J’aime passionnément la poésie d’Aragon (Surtout celle du Roman Inachevé, qui traîne au pied de mon lit encore et toujours…)

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  1. florent

    Sa robe tomba tout de suite quand ma hâte la délia. Cette robe … « n’a pas fait plus de bruit qu’une orange tombant sur un tapis » (un peu de Prévert).
    Florent

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    1. soluto Auteur de l’article

      Certes, la hâte… Nous, nous aimons la tension, la lenteur, l’effleurement. Dégrafer doucement les pépins de nacre pour que le tissu flou s’accroche au sein, au coude, aux hanches… Et que grince une lame de parquet quand le souple déhanché fait tomber la parure… Le bruit de l’écorce que nous chante Prévert semble nous dire « Plus un zeste… » C’est peu dire que nous ne suivrons pas son conseil…

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