Elle martyrisait à plaisir sa mémoire C’était au beau milieu de notre tragédie Le monde ressemblait à ce miroir maudit Le peigne partageait les feux de cette moire Et ces feux éclairaient des coins de ma mémoire
Jouer, oui, c’est croire! Bien sûr que je crois en la lucidité, c’est ce qui protège le plus…mais je ne connais pas le luxe des masques..même si j’aime jouer( à dessein?) beaux dessins!
Comment faites- vous pour manipuler tous ces masques sans vous emmêler? je vous recommande les pages sur le carnaval dans « le quatuor d’Alexandrie »…mais c’est pas la peine d’y aller en ce moment!
> Cher Denysor, vous savez « trop », c’est beaucoup (voire même beaucoup trop…) Venez ici sans crainte… Les images ne nous touchent jamais assez (et au moins, elles, à l’inverse de beaucoup, elles ne sont jamais décevantes quand on les a aimées…)
troublante, elle ne baissera pas les yeux, les oublier, une autre histoire
Captivant… La couleur qui s’immisce dans le regard…
Ca pourrait être l’extérieur et l’intérieur de la même personne…… Je ne sais pas dans quel ordre. Belle plasticité dans ce premier dessin.
Miroir , mon beau miroir …
Qu’attend on de lui ?
J’aime beaucoup tous ces derniers dessins au crayon. Superbes!
C’est parfois mieux que l’ombre reste sur certains recoins de notre mémoire…que les yeux ne soient pas si perçants.
http://srv05.admin.over-blog.com/index.php?id=1204762806&module=admin&action=publicationArticles:editPublication&ref_site=1&nlc__=881295972492
Jouer, oui, c’est croire! Bien sûr que je crois en la lucidité, c’est ce qui protège le plus…mais je ne connais pas le luxe des masques..même si j’aime jouer( à dessein?) beaux dessins!
Comment faites- vous pour manipuler tous ces masques sans vous emmêler? je vous recommande les pages sur le carnaval dans « le quatuor d’Alexandrie »…mais c’est pas la peine d’y aller en ce moment!
Son nom, restait là, à tout jamais écris dans sa tête au feutre noir.
J’aime venir ici même si souvent je suis très [trop] touché par ces dessins et ces textes.
mais c’est quand même bien, même très bien.
> Cher Denysor, vous savez « trop », c’est beaucoup (voire même beaucoup trop…) Venez ici sans crainte… Les images ne nous touchent jamais assez (et au moins, elles, à l’inverse de beaucoup, elles ne sont jamais décevantes quand on les a aimées…)