Des thèmes originaux, un regard inquiet, du moins intelligent. Des recherches qui s’imposent par leur pertinence. Ici, le dessin sert un projet et est un projet et tout c’est cool. cool cool cool. particulièrement les scènes de la vie modernes, vraiment bien. J’aurais dit contemporain, ou postmoderne, quoique, tes sujets sont vraiment « modernes »…
Bonjour Je trouve ton blog génial j’aimerait vraiment avoir ton talent bravo ton blog déchir grave pourrait tu me donné des petit conseil pour savoir un peut déssiné? en espérant avoir une réponse de ta par je te dit a bientot j’espere?
> Merci à vous tous pour vos commentaires et vos réflexions. Sachez qu’ils me touchent souvent…
> C’est l’enjeu de cette série, Léo, de débusquer sous le plus plat quotidien, le trivial et la contingence, ce qui relève peut-être de notre « époque moderne »… Vous avez écrit : « le dessin est un projet et sert un projet… » et je vous remercie de votre pertinence…
> Merci Sylvie, de votre attention. Votre commentaire a quelque chose d’autoritaire. Comme j’aimerais que vous ayez raison…
> Aby, vous voyez de la nostalgie (et donc du bonheur enfui) là où Pascal pressent l’imminence d’une catastrophe, et je suis frappé de constater qu’aucun de vous deux ne considère ce dessin au présent, dans le reflet de l’instant qu’il décrit… J’ai fait ce lavis il y a quelques semaines et, le trouvant trop lisse, j’avais renoncé à le poster. C’est en le revoyant que j’ai cru saisir son ambiguïté. Vos commentaires m’amènent à penser qu’on n’est pas forcément le mieux placé pour évaluer au mieux la charge d’une image dont on est l’auteur.
> Merci Michael de ton drawl demo! Le blog il déchir pas si grave ke tu dis… Pour les konseils je suis pas le bon keum. Va pousser la porte des Zardec ou des Boze… Trêve de plaisanteries, merci d’être passé et d’avoir laissé un petit mot… Pour le reste je suis désolé. Je ne peux rien pour vous…
>Merci à vous aussi, Pascal, d’avoir pris la peine de faire ce commentaire. Je crois que les tsunamis sont la plupart du temps infiniment silencieux… Au plaisir de vos visites…
ah mais c’était un bon point d’exclamation (que c’est beau !) qui ne cache pas sa joie toute simple devant ce moment figé dans l’eau, bien équilibré, bien ciselé, où j’entends sans effort le clapotis de l’eau contre les jambes et sens la chaleur tirailler un peu le visage.
Des thèmes originaux, un regard inquiet, du moins intelligent. Des recherches qui s’imposent par leur pertinence. Ici, le dessin sert un projet et est un projet et tout c’est cool. cool cool cool. particulièrement les scènes de la vie modernes, vraiment bien. J’aurais dit contemporain, ou postmoderne, quoique, tes sujets sont vraiment « modernes »…
que c’est beau !
Il y a une triste nostalgie qui se dégage et quelque chose qui dérange…
Bonjour Je trouve ton blog génial
j’aimerait vraiment avoir ton talent bravo ton blog déchir grave pourrait tu me donné des petit conseil pour savoir un peut déssiné?
en espérant avoir une réponse de ta par
je te dit a bientot j’espere?
Voici Mon EMAIL Msn
michael.conan@hotmail.fr
« you’re an accident ready to happen »
amusant, c’est cette chanson de U2 qui m’est venue a l’esprit eun regardant votre peinture.
comme une immanence,
comme un cliché juste avant le grand eclair blanc qui va vaporiser et les chairs et l’eau.
alors qu’il ne s’agit peut etre juste que de memoriser un souvenir (enfin un souvenir par sa nature est déja un objet memoriel mais bon)
en tout cas toujours aussi fin et aussi beau!
merci!
continuez!
> Merci à vous tous pour vos commentaires et vos réflexions. Sachez qu’ils me touchent souvent…
> C’est l’enjeu de cette série, Léo, de débusquer sous le plus plat quotidien, le trivial et la contingence, ce qui relève peut-être de notre « époque moderne »… Vous avez écrit : « le dessin est un projet et sert un projet… » et je vous remercie de votre pertinence…
> Merci Sylvie, de votre attention. Votre commentaire a quelque chose d’autoritaire. Comme j’aimerais que vous ayez raison…
> Aby, vous voyez de la nostalgie (et donc du bonheur enfui) là où Pascal pressent l’imminence d’une catastrophe, et je suis frappé de constater qu’aucun de vous deux ne considère ce dessin au présent, dans le reflet de l’instant qu’il décrit… J’ai fait ce lavis il y a quelques semaines et, le trouvant trop lisse, j’avais renoncé à le poster. C’est en le revoyant que j’ai cru saisir son ambiguïté. Vos commentaires m’amènent à penser qu’on n’est pas forcément le mieux placé pour évaluer au mieux la charge d’une image dont on est l’auteur.
> Merci Michael de ton drawl demo! Le blog il déchir pas si grave ke tu dis… Pour les konseils je suis pas le bon keum. Va pousser la porte des Zardec ou des Boze… Trêve de plaisanteries, merci d’être passé et d’avoir laissé un petit mot… Pour le reste je suis désolé. Je ne peux rien pour vous…
>Merci à vous aussi, Pascal, d’avoir pris la peine de faire ce commentaire. Je crois que les tsunamis sont la plupart du temps infiniment silencieux… Au plaisir de vos visites…
ah mais c’était un bon point d’exclamation (que c’est beau !) qui ne cache pas sa joie toute simple devant ce moment figé dans l’eau, bien équilibré, bien ciselé, où j’entends sans effort le clapotis de l’eau contre les jambes et sens la chaleur tirailler un peu le visage.
Super petite aquarelle. La lumière est éblouissante. Bravo !